Taux horaire, forfaits

MARICI Avocats ne facture pas les honoraires du premier échange avec le client concernant un nouveau dossier.

Le cabinet fixe ensuite le taux horaire de chaque avocat intervenant dans un dossier d’un commun accord avec le client, conformément aux règles applicables à la profession d’avocat (difficulté de l’affaire, situation du client, etc.). Il se situe habituellement entre 250 euros et 350 euros (hors taxes, frais et débours).

Cependant, le cabinet propose le plus souvent au client un ou plusieurs forfaits, détaillés suivant les diligences prévues / prévisibles.

A défaut, il s’efforce de prévoir une fourchette d’honoraires prévisibles en fonction des circonstances. Ceci afin de permettre au client d’anticiper autant que possible les frais à exposer.

Honoraires plafonnés, au résultat, abonnements

A la demande du client, le cabinet peut également prévoir la mise en place d’un plafond d’honoraires et/ou un honoraire de résultat. Conformément aux règles applicables à la profession d’avocat, les honoraires ne peuvent reposer exclusivement sur le résultat escompté.

Enfin, le cabinet peut proposer aux clients qui le souhaitent des contrats d’abonnement annuel.

Facturation

MARICI Avocats fixe les échéances de facturation des honoraires d’un commun accord avec le client. Elles sont généralement mensuelles, pour permettre un lissage des coûts pour le client. MARICI tient les feuilles de temps à la disposition du client et les lui communique sur simple demande.

Les frais et débours du cabinet sont susceptibles de faire l’objet d’une refacturation séparée et immédiate (frais d’huissiers et de greffe, transport, etc.).

Sur certains dossiers et en accord avec le client, des frais administratifs d’un montant maximum de 2% des honoraires sont facturés en sus (frais de reproduction de documents et de secrétariat notamment).

Transparence

Information

Anticipation

Convention d'honoraires

Une convention d’honoraires est conclue entre le client et le cabinet (sauf cas d’urgence). Cette convention reprend de manière précise et détaillée l’accord intervenu.

Si nécessaire (évolution du dossier, circonstances nouvelles, etc.), cette convention peut naturellement faire l’objet d’un avenant.